Michel-Edouard Leclerc

Michel-Edouard Leclerc défend les signatures de livres de personnalités politiques dans les Espaces Culturels Leclerc

Michel-Edouard Leclerc s’exprime sur les réseaux sociaux au sujet des signatures de livres de personnalités politiques dans les Espaces Culturels Leclerc. Après l’annonce d’une séance de dédicaces de Nicolas Sarkozy au sein d’un magasin du groupe ce vendredi 24 juillet, qui créé la polémique, Michel-Edouard Leclerc défend la liberté d’opinion contre le « racisme intellectuel ».  

Les livres politiques font débat sur les réseaux sociaux 

Lorsque les livres politiques s’invitent dans les étals des magasins de la grande distribution, le débat sur la toile prend rapidement le pas. Ainsi, Michel-Edouard Leclerc a publié un post sur LinkedIn dans lequel il défend les signatures de livres de personnalités politiques au sein de ses Espaces Culturels Leclerc.

L’objet de la polémique n’est autre que la présence de Nicolas Sarkozy, ancien Président de la République (2007-2012), qui participera ce vendredi 24 juillet à une séance de dédicaces au E.Leclerc Baleone, à Ajaccio.  Si selon lui, « ce genre d’événement donne des boutons à certains critiques littéraires », Michel-Edouard Leclerc ne compte pas reculer face aux critiques. Il considère ainsi que les Espaces Culturels ont aussi pour fonction d’organiser les débats de société et non de les brider. 

Lutter contre « le racisme intellectuel » et « défendre la liberté d’opinion » 

Troisièmes libraires de France (après Amazon et la Fnac), les Espaces Culturels Leclerc accueillent depuis déjà des années les livres d’opinion et de personnalités politiques à l’instar du Président de la République Emmanuel Macron, de Jean-Luc Mélenchon ou encore d’Eric Dupond-Moretti. Des signatures de livres de l’ancien Président de la République François Hollande y ont aussi été organisées.

Le président des magasins E.Leclerc rappelle ainsi que « le livre politique reste un vecteur du débat national » et qu’il ne souhaite pas prendre part à ce dilemme infertile de « censure » ou  de « lynchage ». Malgré les commentaires des internautes en demi-teinte, Michel-Edouard Leclerc entend « défendre la liberté d’opinion » et lutter contre ce qu’il nomme « le racisme intellectuel ». Il salue ainsi les libraires qui promeuvent la liberté de débattre et qui « perpétuent la tradition de l’accueil ». 

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